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Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus La préverbation en latin: étude des préverbes ad-, in-, ob- et per- dans la poésie républicaine et augustéenne
L’ouvrage (version remaniée d’une thèse soutenue à l’Université de Paris IV-Sorbonne en 2003) se propose d’apporter des éléments nouveaux contribuant à une meilleure connaissance du mécanisme complexe de la préverbation. Analysé comme un « relateur » (dans la lignée des analyses de B. Pottier, 1962), le préverbe met en relation, dans le cadre d’un procès verbal, une « entité située » et une « entité-repère ». En 1ère partie, une étude confrontative des préverbes ad-, in-, ob-, et per- dans la classe des verbes de déplacement agentif vise à caractériser le signifié spécifique de chacun. L’étude sémantique générale, en 2e partie, permet de définir un certain nombre de critères essentiels pour la préverbation : structuration paradigmatique du lexique, principe d’« affinité sémantique », « portée interne » et « portée externe » du préverbe, formalisation du repère. La 3e partie se propose de définir plus précisément les rapports qu’entretient le préverbe avec une base verbale tant sur le plan morpho-sémantique (préverbation des verbes en -sco, cas de la parasynthèse) que syntaxique (transitivation d’un verbe préverbé et « duplication » dans des énoncés du type percurro per). La préverbation, procédé de création lexicale, s’inscrit alors dans la question plus générale de la modélisation du réel au travers de l'énoncé.
£96.26
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Primores Galliarum: IV. Indices
Un peu moins de trois cents Gallo-Romains ont appartenu aux deux ordres nobiliaires romains au cours du Haut-Empire, chevaliers pour les trois quarts, sénateurs pour le quart restant. La reconnaissance de cette appartenance est le résultat d’une application de critères d’origine géographique aux sénateurs et chevaliers romains présumés originaires de Gaule ou présumés tels à divers titres, qui a conduit à écarter, dans l’état actuel de la documentation, un nombre assez élevé de personnages considérés comme ayant appartenu à l’ordre sénatorial ou à l’ordre équestre pour des raisons individuelles ou un statut présumé de groupes. Il s’agit en ce cas d’une part de Gaulois assurés mais dont l’appartenance à l’un des deux ordres nobiliaires ne peut être qu’une erreur ou une trop fragile hypothèse, d’autre part de sénateurs ou de chevaliers parfaitement authentiques mais pour lesquels une origine de Gaule ne pose sur de fondements dépourvus de solidité ou qui ne suffisent pas à asseoir une conviction. Ces deux élites nobiliaires ont connu simultanément une triple évolution. Une évolution chronologique des effectifs connus: ils ont progressé de manière parallèle pour les sénateurs et les chevaliers jusqu’à la fin du 1er siècle, en laissant derrière eux les effectifs sénatoriaux et équestres des provinces hispaniques, africaines et micrasiatiques ; une baisse a commencé dans la seconde moitié du IIe siècle et s’est généralisée au IIIe siècle, plus rapidement et plus profondément, au moins en apparence, pour les sénateurs dont les effectifs connus furent, comme ceux des chevaliers, de plus en plus largement distancées par ceux des nobles d’Afrique et d’Asie Mineure. Cette évolution chronologique s’est accompagnée d’une évolution de la répartition géographique de ces primores. La Narbonnaise est présente dans la prosopographie sénatoriale et équestre dès la fin de la République, mais le premier chevalier connu des Trois Gaules date de l’époque augustéenne et la première attestation d’un sénateur de l’une de ces provinces de l’époque claudienne. Ce retard a duré pour le recrutement sénatorial jusqu’au début du IIe siècle, tandis que les effectifs des chevaliers croissaient oins inégalement. Au IIe siècle le contraste entre la Narbonnaise et le reste de la Gaule s’est atténué à la suite de la diminution du nombre des sénateurs et des chevaliers connus dans la province du Sud-Est, alors que dans les Trois Gaules le nombre des premiers augmentait légèrement et que se maintenait le nombre des seconds, les deux provinces rhénanes restant en retrait. Au cours du IIIe siècle s’est produit un renversement des valeurs au bénéfice de la Gaule conquise par César, les régions rhénanes fournissant alors ses assises les plus larges au recrutement équestre. Les primores gallo-romains ont aussi connu une évolution d’ordre sociologique. Commencée par l’octroi du droit de cité au chefs indigènes, expliquant l’accès privilégié de ceux-ci à l’ordre équestre et par lui à l’ordre sénatorial, l’extension progressive du recrutement équestre puis sénatorial du Sud-Est vers les régions de l’intérieur et du Nord de la Gaule a continué jusqu’au deuxième tiers du IIe siècle au profit des milieux dirigeants traditionnels, mais aux chefs indigènes des peuples du Sud-Est et aux descendants des dynastes aquitains ou bataves ont succédé des notables de moindre envergure ; enfin ont accédé à leur tour à l’ordre équestre des militaires de carrière venus avant tout des régions du Nord-Est.
£46.41
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Les Images du Monde: Structure, écriture et esthétique du paysage dans les oeuvres de Stace et Silius Italicus
Comment les Romains ont-ils perçu l’espace naturel? Ont-ils su le représenter et en donner une image artistique? Ont-ils mené une réflexion globale sur la saisie et l’appréciation de l’environnement naturel? Est-il donc pertinent de lire et de regarder les représentations de la nature à Rome en termes de paysage, selon une définition et une théorisation rigoureuses qui vont au-delà de l’usage courant du mot? C’est à ces questions que l’ouvrage Les Images du monde tente de répondre, à travers l’étude spécifique des ÷uvres de deux poètes de l’époque flavienne, Stace et Silius Italicus. Ce faisant sont proposés un parcours des différentes formes de l’écriture des images de nature dans les poèmes concernés, selon une rhétorique de l’espace marquée par la schématisation et la codification, et une réflexion sur les virtualités poétiques et imaginaires de cette écriture. L’esthétisation, la recherche de l’artifice et le refus du naturalisme y dessinent le tableau du paysage romain tel qu’il se découvre et s’invente alors.
£84.34
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Ovide épistolier
Cette étude, qui s’inscrit dans une réflexion générale sur la forme épistolaire et sur l’écriture du moi à Rome, met en rapport le recueil de jeunesse des Héroïdes, avec les deux recueils de lettres de la maturité et de l’exil, les Tristes et les Pontiques, pour mesurer l’évolution de l’art épistolaire d’Ovide et cerner l’intérêt de la forme de l’épître en vers dans son ÷uvre. Après avoir souligné l'ambiguïté générique de ces trois ÷uvres littéraires, l'auteur dégage les traits constants d’un art épistolaire propre à Ovide, en montrant notamment la présence continue d’une même rhétorique, d’un même univers poétique et d’une même forme de distance humoristique. Toutefois, si la nature des procédés épistolaires varie peu, l'ouvrage montre que la fonction assignée par Ovide à la forme épistolaire évolue, elle, considérablement. Ovide a d’abord exploré, dans sa jeunesse, de façon ludique, une forme littéraire qui lui permettait de montrer ses talents de poète et de réfléchir, parallèlement, à son art. Puis, face à l’expérience de la solitude et de la relégation, en réutilisant une forme qu’il maîtrisait parfaitement et qui était caractéristique de son génie, il en a mesuré les enjeux. Il fallait dépasser le paradoxe des Héroïdes et la maladresse des épistolières, pour parvenir, grâce à une maîtrise parfaite de la forme épistolaire, à exprimer l’intime et la vérité d’une expérience inédite. Il fallait se faire « grand poète », nouvel Acontius, non pas pour tromper, mais pour parvenir à communiquer, malgré les difficultés, avec les Romains et ainsi à rester vivant. Le projet était ambitieux, mais il semble qu’Ovide ait réussi, grâce à la transformation poétique d’ une forme traditionnelle, à conférer à l’écriture
£71.06
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus A Commentary on Virgil, Aeneid XI
This commentary considers Book XI of Virgil's Aeneid as the key book in which the poet explicates his great themes: the ascendancy of Italy over Troy, the ultimate triumph of Diana over Venus, and the beginning of the process by which Aeneas prepares to assume the wrath of Juno, as he is foiled in his plan to win the war in Latium at one stroke by seizing the city by secret infantry assault. The commentary both expands on and complements the coverage of other works on the book; in particular, it provides a new appraisal of Virgil's Camilla, in which the speculation is raised that the character may reflect pre-existing folklore traditions about female lycanthropy. The close connections between Books 11 and 5 of the epic are also explored in detail, as are the links between Camilla and Pallas.
£70.01
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Le Principat et son fondateur: L'utilisation de la référence à Auguste de Tibère à Trajan
£79.16
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus L'«Astyanax di Accio: Saggio sul background mitografico, testo critico e commento dei frammenti
£43.16
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Ciues Epicurei: Les épicuriens et l'idée de monarchie à Rome et en Italie de Sylla à Octave
£74.56
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Studies in Latin Literature and Roman History XII
£95.64
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Le vestali: Un sacerdozio funzionale al "cosmo" romano
£59.64
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Hommages à Carl Deroux IV: Archéologie et Histoire de l'Art, Religion
£140.48
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus La pêche et les poissons dans la littérature latine: I. Des origines à la fin de la période augustéenne
£58.36
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Andrew Marvell's Latin Poetry: From Text to Context
£71.32
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Historia proxima poetis: L'influence de la poésie épique sur le style des historiens latins de Salluste à Ammien Marcellin
£87.45
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Neronia V. Néron: histoire et légende: Actes du Ve Colloque International de la SIEN (Clermont-Ferrand et Saint-Étienne, 2-6 novembre 1994)
£85.60
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus La femme et l'amour chez Catulle et les Élégiaques augustéens
£77.85
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Synthèses romaines. Langue latine - Droit romain. Institutions comparées: Études publiées en hommage au professeur J.-H. Michel
£88.68
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Emperors and Architecture: A Study of Flavian Rome
£82.51
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Tradizione annalistica e tradizione ellenistica su Pirro in Dionigi (A.R. XIX-XX)
£43.29
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Les organisations de la jeunesse dans l'Occident Romain
£71.18
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Les noms latins du type "mens": Étude morphologique
£54.86
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Gens de Lugdunum
£43.68
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus The Practice of Politics at Rome 366-167 B.C.
£69.51
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Slaves and Masters in the Roman Empire A Study in Social Control 185 Collection Latomus
£39.42
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Énée et Lavinium: À propos des découvertes archéologiques récentes
£57.32
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus La religione e la superstizione nella «Cena Trimalchionis»
£44.91
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Sénèque et les premiers chrétiens
£47.56
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Aporie etiche in Epicuro
£45.15
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Lettres latines du Moyen Âge et de la Renaissance
£56.49