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Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Les animaux dans la mentalité romaine
£43.05
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Hommages à Carl Deroux II: Prose et linguistique, Médecine
£118.39
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Recherches sur les préverbes de- et ex- du latin
£79.25
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Le songe dans l'épopée latine d'Ennius à Claudien
£55.45
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Les idées politiques et le gouvernement de l'empereur Julien
£95.71
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Le sistemazioni forensi nelle città della Cisalpina romana: Dalla tarda repubblica al principato augusteo (e oltre)
£45.04
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus L'Univers de Philostrate
£43.29
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus D.M. Ausonius «Parentalia
£55.56
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Le latin dans le monde grec: Recherches sur la diffusion de la langue et des lettres latines dans les provinces hellénophones de l'Empire romain
£82.54
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus L'Afrique, la Gaule, la Religion à l'époque romaine: Mélanges à la mémoire de Marcel Le Glay
£164.01
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Romanos e Itálicos en la Baja República: Estudios sobre sus relaciones entre la Segunda Guerra Púnica y la Guerra Social (201-91 a.C.)
£77.66
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Siris: Tradizione storiografica e momenti della storia di una città della Magna Grecia
£43.18
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Studies in Latin Literature and Roman History IV
£92.63
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus A Prosopography to the Poems of Juvenal
£55.91
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Le pouvoir politique et sa représentation dans l'«Énéide» de Virgile
£75.09
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Cicéron: «De Natura Deorum»: Tables
£42.70
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Journées Ovidiennes de Parménie: Actes du Colloque sur Ovide (24-26 juin 1983)
£57.19
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Hommages à Henry Bardon
£71.95
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus I motivi profondi della poesia lucreziana
£69.54
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Studies in Latin Literature and Roman History II
£74.78
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Commentaire des fragments dramatiques de Naevius
Faisant suite au Commentaire des fragments dramatiques de Livius Andronicus du même auteur (Collection Latomus 318, 2008), le présent livre suit en principe l’édition de Warmington Remains of Old Latin pour le texte, tout en le critiquant ou le corrigeant au besoin; on y ajoute les fragments recueillis dans d’autres éditions, anciennes et modernes, de sorte que le lecteur trouvera ici tous les textes dramatiques associés au nom de Naevius. Mais l’essentiel de ce commentaire porte sur l’explication linguistique et stylistique des fragments, ainsi que sur leur analyse en tant que restes d’un texte dramatique et qu’il s’agit donc de comprendre en fonction de cette destination originelle. Notamment, on tente de situer ces fragments dans une intrigue reconstituée autant qu’on peut le faire raisonnablement, en leur assignant une place et un rôle – lorsque c’est possible – qui tiennent compte des conditions du théâtre et des modèles dramatiques dont nous disposons.
£132.95
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Studies in Latin Literature and Roman History XV
£102.66
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Humanistica Luxemburgensia: la Bombarda de Barthélemy Latomus, les Opuscula de Conrad Vecerius: Textes édités, traduits et annotés par Myriam Melchior et Claude Loutsch
£56.38
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Mythe et Révolution: La fabrication d'un récit: la naissance de la république à Rome
Rome a connu un changement de régime en 509 av. J.-C. et est passée de la monarchie à la république. Les historiens actuels ont tendance à expliquer cela en fonction d’événements dont on devine qu’ils ont affecté le Latium à cette époque : tentative de mainmise sur la région du roi de la ville étrusque de Chiusi, Porsenna, bloquée à Aricie par la résistance victorieuse des Latins, appuyés par Aristodème, tyran de la ville grecque de Cumes. Mais avant son échec à Aricie, l’armée de Porsenna se serait assuré le contrôle de Rome : en fait ce serait l’avancée du roi de Chiusi qui aurait mis fin au règne des Tarquins et mis en place un autre régime, contrôlé par les chefs de l’aristocratie locale, que la politique du dernier roi, considéré comme un tyran, avait dressée contre lui. Mais cette histoire réelle ne transparaît guère dans le récit traditionnel, qui fait de Porsenna l’allié des Tarquins et affirme que Rome lui a résisté victorieusement (quand bien même certains esprits indépendants, comme Tacite, reconnaissaient que le roi étrusque avait pris Rome). Ce récit fait défiler devant nous une série de héros romains, la vertueuse Lucrèce, violée par le fils du tyran, qui se suicide et déclenche ainsi la révolution, Brutus et bientôt Publicola qui en prennent la tête, Coclès le borgne et Scaevola le manchot qui empêchent l’ennemi de s’emparer de la ville, Clélie, la jeune otage, qui s’enfuit en traversant le Tibre à la nage et dont le courage convainc Porsenna d’abandonner les Tarquins et de devenir l’ami des Romains. G. Dumézil avait depuis longtemps reconnu que plusieurs de ces héros transposaient des figures mythologiques connue ailleurs dans le monde indo-européen, comme les dieux scandinaves Odin et Tyr, dont l’un est borgne et l’autre manchot. Il avait même suggéré que ce récit reprenne le schéma de la grande bataille entre dieux et démons, tel qu’il transparaît dans le « Crépuscule des dieux » germanique et l’épopée indienne du Mahabharata. Cette étude cherche à approfondir cette analyse, en l’appliquant à l’ensemble du récit traditionnel.
£74.90
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Primores Galliarum. Sénateurs et chevaliers romains originaires de Gaule de la fin de la République au IIIe siècle: III. Étude sociale. 1. Les racines
Un peu moins de trois cents Gallo-Romains ont appartenu aux deux ordres nobiliaires romains au cours du Haut-Empire, chevaliers pour les trois quarts, sénateurs pour le quart restant. La reconnaissance de cette appartenance est le résultat d’une application de critères d’origine géographique aux sénateurs et chevaliers romains présumés originaires de Gaule ou présumés tels à divers titres, qui a conduit à écarter, dans l’état actuel de la documentation, un nombre assez élevé de personnages considérés comme ayant appartenu à l’ordre sénatorial ou à l’ordre équestre pour des raisons individuelles ou un statut présumé de groupes. Il s’agit en ce cas d’une part de Gaulois assurés mais dont l’appartenance à l’un des deux ordres nobiliaires ne peut être qu’une erreur ou une trop fragile hypothèse, d’autre part de sénateurs ou de chevaliers parfaitement authentiques mais pour lesquels une origine de Gaule ne pose sur de fondements dépourvus de solidité ou qui ne suffisent pas à asseoir une conviction. Ces deux élites nobiliaires ont connu simultanément une triple évolution. Une évolution chronologique des effectifs connus: ils ont progressé de manière parallèle pour les sénateurs et les chevaliers jusqu’à la fin du 1er siècle, en laissant derrière eux les effectifs sénatoriaux et équestres des provinces hispaniques, africaines et micrasiatiques ; une baisse a commencé dans la seconde moitié du IIe siècle et s’est généralisée au IIIe siècle, plus rapidement et plus profondément, au moins en apparence, pour les sénateurs dont les effectifs connus furent, comme ceux des chevaliers, de plus en plus largement distancées par ceux des nobles d’Afrique et d’Asie Mineure. Cette évolution chronologique s’est accompagnée d’une évolution de la répartition géographique de ces primores. La Narbonnaise est présente dans la prosopographie sénatoriale et équestre dès la fin de la République, mais le premier chevalier connu des Trois Gaules date de l’époque augustéenne et la première attestation d’un sénateur de l’une de ces provinces de l’époque claudienne. Ce retard a duré pour le recrutement sénatorial jusqu’au début du IIe siècle, tandis que les effectifs des chevaliers croissaient oins inégalement. Au IIe siècle le contraste entre la Narbonnaise et le reste de la Gaule s’est atténué à la suite de la diminution du nombre des sénateurs et des chevaliers connus dans la province du Sud-Est, alors que dans les Trois Gaules le nombre des premiers augmentait légèrement et que se maintenait le nombre des seconds, les deux provinces rhénanes restant en retrait. Au cours du IIIe siècle s’est produit un renversement des valeurs au bénéfice de la Gaule conquise par César, les régions rhénanes fournissant alors ses assises les plus larges au recrutement équestre. Les primores gallo-romains ont aussi connu une évolution d’ordre sociologique. Commencée par l’octroi du droit de cité au chefs indigènes, expliquant l’accès privilégié de ceux-ci à l’ordre équestre et par lui à l’ordre sénatorial, l’extension progressive du recrutement équestre puis sénatorial du Sud-Est vers les régions de l’intérieur et du Nord de la Gaule a continué jusqu’au deuxième tiers du IIe siècle au profit des milieux dirigeants traditionnels, mais aux chefs indigènes des peuples du Sud-Est et aux descendants des dynastes aquitains ou bataves ont succédé des notables de moindre envergure ; enfin ont accédé à leur tour à l’ordre équestre des militaires de carrière venus avant tout des régions du Nord-Est.
£69.15
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Love and Propaganda: Augustan Venus and the Latin Love Elegists
£45.03
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Studies in Latin Literature and Roman History XIII
£95.64
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Crisi finanziaria e monetazione durante le Guerra Sociale
£56.72
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Primores Galliarum. Sénateurs et chevaliers romains originaires de Gaule de la fin de la République au IIIe siècle: I. Méthodologie
Un peu moins de trois cents Gallo-Romains ont appartenu aux deux ordres nobiliaires romains au cours du Haut-Empire, chevaliers pour les trois quarts, sénateurs pour le quart restant. La reconnaissance de cette appartenance est le résultat d’une application de critères d’origine géographique aux sénateurs et chevaliers romains présumés originaires de Gaule ou présumés tels à divers titres, qui a conduit à écarter, dans l’état actuel de la documentation, un nombre assez élevé de personnages considérés comme ayant appartenu à l’ordre sénatorial ou à l’ordre équestre pour des raisons individuelles ou un statut présumé de groupes. Il s’agit en ce cas d’une part de Gaulois assurés mais dont l’appartenance à l’un des deux ordres nobiliaires ne peut être qu’une erreur ou une trop fragile hypothèse, d’autre part de sénateurs ou de chevaliers parfaitement authentiques mais pour lesquels une origine de Gaule ne pose sur de fondements dépourvus de solidité ou qui ne suffisent pas à asseoir une conviction. Ces deux élites nobiliaires ont connu simultanément une triple évolution. Une évolution chronologique des effectifs connus: ils ont progressé de manière parallèle pour les sénateurs et les chevaliers jusqu’à la fin du 1er siècle, en laissant derrière eux les effectifs sénatoriaux et équestres des provinces hispaniques, africaines et micrasiatiques ; une baisse a commencé dans la seconde moitié du IIe siècle et s’est généralisée au IIIe siècle, plus rapidement et plus profondément, au moins en apparence, pour les sénateurs dont les effectifs connus furent, comme ceux des chevaliers, de plus en plus largement distancées par ceux des nobles d’Afrique et d’Asie Mineure. Cette évolution chronologique s’est accompagnée d’une évolution de la répartition géographique de ces primores. La Narbonnaise est présente dans la prosopographie sénatoriale et équestre dès la fin de la République, mais le premier chevalier connu des Trois Gaules date de l’époque augustéenne et la première attestation d’un sénateur de l’une de ces provinces de l’époque claudienne. Ce retard a duré pour le recrutement sénatorial jusqu’au début du IIe siècle, tandis que les effectifs des chevaliers croissaient oins inégalement. Au IIe siècle le contraste entre la Narbonnaise et le reste de la Gaule s’est atténué à la suite de la diminution du nombre des sénateurs et des chevaliers connus dans la province du Sud-Est, alors que dans les Trois Gaules le nombre des premiers augmentait légèrement et que se maintenait le nombre des seconds, les deux provinces rhénanes restant en retrait. Au cours du IIIe siècle s’est produit un renversement des valeurs au bénéfice de la Gaule conquise par César, les régions rhénanes fournissant alors ses assises les plus larges au recrutement équestre. Les primores gallo-romains ont aussi connu une évolution d’ordre sociologique. Commencée par l’octroi du droit de cité au chefs indigènes, expliquant l’accès privilégié de ceux-ci à l’ordre équestre et par lui à l’ordre sénatorial, l’extension progressive du recrutement équestre puis sénatorial du Sud-Est vers les régions de l’intérieur et du Nord de la Gaule a continué jusqu’au deuxième tiers du IIe siècle au profit des milieux dirigeants traditionnels, mais aux chefs indigènes des peuples du Sud-Est et aux descendants des dynastes aquitains ou bataves ont succédé des notables de moindre envergure ; enfin ont accédé à leur tour à l’ordre équestre des militaires de carrière venus avant tout des régions du Nord-Est.
£94.58
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Safe and Subsidized: Vergil and Horace sing Augustus
£69.19
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Amour et désir dans les «Métamorphoses» d'Apulée
£68.15
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Roma e Italia de la Guerra Social a la retirada de Sila (90-79 a.C.)
£70.64
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus La limitation des naissances dans la société romaine
£43.98
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Varron théologien et philosophe romain
£76.82
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Hiems Latina: Études sur l'hiver dans la poésie latine, des origines à l'époque de Néron
£73.64
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus La propriété en Lucanie depuis les Gracques jusqu'à l'avènement des Sévères: Étude épigraphique
£55.56
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus L'art de la persuasion dans les «Annales» de Tacite
£81.40
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Les verbes latins à infectum en -sc-: Étude morphologique à partir des informations attestées dès l'époque préclassique
£101.31
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Política y adivinación en el Bajo Imperio Romano: Emperadores y harúspices (193 D.C. - 408 D.C.)
£43.75
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Studies in Latin Literature and Roman History V
£81.59
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Neronia IV. Alejandro Magno, modelo de los emperadores romanos: Actes du IVe Colloque International de la SIEN
£79.58
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus The Roman Jurists and the Organization of Private Building in the Late Republic and Early Empire
£44.56
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Les distributions d'argent et de nourriture dans les villes italiennes du Haut-Empire romain
£44.91
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Hommages à Jozef Veremans
£71.51
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Städte und Steuern in der Politik Julians: Untersuchungen zu den Quellen eines Kaiserbildes
£72.18
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Scripta Varia
£88.85
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus Trois études sur l'Arabie romaine et byzantine
£55.79
Societe d'etudes latines de Bruxelles-Latomus L'administration des provinces pannoniennes sous le Bas-Empire romain
£43.05